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Blog de SOS Démocratie Comores

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SOSDemocratieComores

Description :

L' association SOS DEMOCRATIE COMORES fondée en mars 1996 a pour but de veiller au respect des droits de l'homme et des libertés démocratiques aux Comores. Elle se base sur la Déclaration Universelle des droits de l'homme, la charte Africaine des Droits de l'homme et la Convention Européenne des Droits de l'Homme.

Afin de poursuivre son objet, SOS DEMOCRATIE :

1) Dénonce toutes formes de violations des droits humains, de détentions illégales, de tortures, aux traitements inhumains, à l'exploitation et s'oppose à la peine de mort ;

2) Est impassible à l'égard de tous les régimes quel que soit le système idéologique, religieux ou le groupement politique auquel ils appartiennent ;

3) Adopte tout autre moyen approprié à la poursuite de son objet et pourra se constituer partie civile dans n'importe quelle juridiction.

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La 607 de Rachida déclenche une affaire d'Etat

* Il provoque une enquête de la justice sur les potins de la République
Sarko est d'une rumeur massacrante

* Légalisation des paris et jeux en ligne, la nouvelle devise de Sarko:
"Jouer plus pour ... perdre plus !"

* Ségolène Royal veut déposer ses idées comme des marques industrielles:
Après la bravitude ... la brevétitude

_________________________

"Le canard" de la semaine dernière en a fait de belles en racontant comment Sarkozy avait fait retirer à Rachida Dati, le soir du premier tour des régionales, sa voiture officielle et son escorte policière. En moins de huit jours, l'histoire de la limousine de Rachida s'est transformée en affaire d'Etat, grâce à l'activisme de l'Elysée et aux maladresses des uns et des autres...
Le contre feu de l'Intérieur fait long feu. D'autant que les communicants de la présidence de la République s'y mettent à leur tour et expliquent , sous le sceau du secret, que "Le Canard" avait raison d'écrire que Sarko en voulait "à mort" à Rachida. Il la soupçonne d'avoir colporté, voire d'être à l'origine des rumeurs sur la vie privée de Carlita et de Chouchou. C'est que le Président n'a jamais oublié les manoeuvres tortueuses de certains chiraquiens pour précipiter sa rupture avec Cécilia. ça ne va pas recommencer avec Carla ! Pas question de laisser faire. L'Elysée ressort les crocs de boucher...
Le coup du complot
Pierre Charon, un des conseillers de Sarko, confirme d'abord que c'est à la demande de l'Elysée que la direction du "Journal du dimanche" a porté plainte en justice, le 25 mars, pour "introduction frauduleuse de données dans un système informatique". Puis il ajouteà propos de bévue du "JDD" et de ces rumeurs: ...Maintenant, on va voir s'il n'y a pas une espèce de complot organisé, avec des mouvements financiers, pourquoi pas." Un "complot des financiers internationaux", pas moins ! Avec l'aide de Goldman Sachs et de la Deutsche Bank ? Au passage, ledit Charon déclare au sujet de cette affaire: "Comme on dit, la peur doit changer de camp." ...
Enquêtes tous azimuts
La thèse du "complot", Brice Hortefeux lui-même l'avait déjà distillée, en confidence, dès le lendemain des régionales devant quelques journalistes: ... "Le fait que ces rumeurs aient été relayées dans la presse en Grande-Bretagne, en Allemagne et en Suisse peut faire penser à un complot, alors que la France s'apprête, en 2011, à prendre la présidence du G20." Elémentaire, mon cher Watson du Puy-de-Dôme.
Puis le ministre avait laissé tomber: "De toute façon, une enquête va être faite pour savoir d'où viennent ces rumeurs". L'enquête des services de renseignement a été alors effectivement ordonnée. Avec écoutes téléphoniques autorisées àl'appui, selon un collaborateur de l'Elysée.
Une machine totalement folle
Le dimanche 4 mars, Rachida Dati, qui tente sans succès depuis plusieurs jours de raccrocher les wagons avec la présidence, entre dans la sanse. Elle rend public un communiqué où elle "proteste contre les allégations de certains organes de presse ...". Puis arrive la menace : elle se "reserve le droit d'agir en diffamation contre ceux qui reprendraient cette allégation dénuée de tout fondement et la relient par surcroît à la suppression naturelle de sa protection policière, présentée comme une sanction"...
Le député chiraquien et ancien ministre Christian Jacob vole, quant à lui, au secours de Rachida Dati, victime "d'une odieuse cabale"...
Ce même mardi, cette fois en répose à un journaliste du "Canard", Claude Guéant, le secrétaire général de l'Elysée, assure que "le président de la République ne veut plus voir Rachida Dati".
Et cette fois, il ne s'agit pas d'une rumeur.

"Le Canard enchaîné" - mercredi 7 avril 2010

Nous regretons l'utilisation de l'appareil de l'Etat à des fins privées par le président français. N'est-ce pas les caracteristiques d'une République bananière comme les autorités françaises ont l'habitude de se moquer des pays africains !?
S'il s'avère que l'enquête conclut que Rachida Dati n'a pas participé à ces "rumeurs" sur des relations préssuposées extra-conjugales de Carla Bruni avec d'autres hommes, nous sommes en droit de soutenir la fameuse Rachida ("symbole" de l'ouverture des gouvernements Sarkozy aux communautés maghrebines ou noires comme c'est le cas pour les ministres Fadela Amara et Rama Yade) dans une éventuelle action judiciaire contre des mesures de "segrégation raciale" ou de "délit de faciès".
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#Posté le jeudi 08 avril 2010 20:14

Modifié le vendredi 09 avril 2010 22:23

Comores:La Tanzanie salue l'harmonisation du calendrier des élections

Le ministre tanzanien des Affaires étrangères, Bernard Kamilius Membe, a salué mardi la décision du Congrès comorien de fixer au 27 novembre l'élection présidentielle et celle des gouverneurs des îles pour éviter une dispersion des élections dans ce pays.

"Il va de soi que l'harmonisation des élections ne sera pas en faveur de tout le monde à la fois", a notamment indiqué le ministre tanzanien, au cours d'une conférence de presse, à l'issue d'une visite de vingt-quatre heures à Moroni.

Certains se trouveront favorisés par cette décision et d'autres non, a noté M. Membe, estimant qu'il n'y a pas d'alternative.

Il a critiqué la récente mission de l'opposition comorienne à Addis- Abeba où elle a exprimé à l'Union africaine (UA) son désaccord vis-à- vis de la décision du Congrès qu'elle assimile à une prolongation du mandat du président Sambi devant arriver à terme le 26 mai prochain.

Pendant son séjour à Moroni, le ministre tanzanien a rencontré le chef de l'Etat, Ahmed Abdallah Sambi, le président de l'Assemblée nationale, Bourhani Hamidou et celui de la Cour constitutionnelle, Abdourazakou Abdoulhamid.

"Je suis désolé de n'avoir pu rencontrer l'opposition, mais si elle le souhaite, je suis très disposé à la recevoir en Tanzanie", a dit le ministre.

Pas de réaction à cet article
6-04-2010 :
PANA

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#Posté le jeudi 08 avril 2010 18:50

Comores – 7 heures de garde à vue pour le correspondant de RFI aux Comores

Par Alain Fogriot
Lundi 5 Avril 2010 à 15:54:06 -
Malango - Actualité

Ahmed Abdallah Mgeni, correspondant de Radio France Internationale aux Comores, a fini sa journée de samedi au commissariat de police de Moroni.

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Ayant répondu, à 15 heures, à une convocation de la Direction Nationale de la Sûreté du Territoire (DNST), il n'a été autorisé à quitter les lieux qu'à 22 heures, sous condition de retourner au poste de police le lendemain matin.

Cela s'est ainsi passé le dimanche, mais cette fois, il n'a été que momentanément retenu. D'après Mgeni, le motif de sa détention est directement lié aux informations qu'il a rapportées à travers RFI, sur l'incendie dont a été victime, jeudi dernier, la maison d'Abou Achirafi Ali Bacar, le directeur de la DNST. Précisément, la police lui reproche d'avoir établi une "relation entre l'acte d'incendie -supposé criminel-, et la vive tension politique qui règne aux Comores", relative à la fin du mandat du président Ahmed Abdallah Sambi. Un chef d'accusation pour le moins vague.

En effet, le journaliste raconte que les policiers à qui il a eu affaire au commissariat "n'ont pas su lui signifier avec clarté les raisons de son interpellation". "Ce sont ces policiers récemment formés en Libye ; j'ai remarqué qu'ils éprouvent d'énormes difficultés avec le français", nous a-t-il livré en anecdote. Sous entendu que ses interrogateurs n'auraient pas bien compris l'information diffusée sur la radio française, et qu'ils auraient même des difficultés avec les dossiers juridiques établis dans la langue de Molière.

Il faut dire que, mise à part durant la crise séparatiste anjouanaise, l'interpellation de journalistes aux Comores sur la base de motifs plus ou moins clairs, n'était pas fréquente, mais tend de plus en plus à le devenir. En décembre dernier, c'est le correspondant de RFO Réunion à Anjouan, Kamal Ali Yahoudha, s'était vu infliger 24 heures de garde à vue, qui restent jusqu'à ce jour inexpliquées. Des gendarmes lui avaient simplement fait savoir que c'était une "détention ordonnée par Oumbad Mirhane", un conseiller du président Sambi. Ce dernier, d'après eux, n'avait pas apprécié un reportage publié par le journaliste sur le quotidien "La Gazette des Comores". Un reportage qui relatait une manifestation dite "pour la paix", organisée à Mutsamudu par des partisans de la mouvance gouvernementale, et qui, selon le reporter, était dirigée contre le chef d'état-major de l'armée comorienne, le général Salimou. Ce qui reste d'ailleurs tout à fait avéré.

Mais Mgeni, lui, n'en est pas à son premier déboire dans le métier de Sartre. Anciennement rédacteur en chef de l'Office de la Radio et de la Télévision Comoriennes (ORTC), il s'est retiré de l'organisme d'état après s'être vu éjecter de ce siège à cause, cette fois-là déjà, d'une correspondance pour RFI sur la fameuse loi sur de la Citoyenneté Economique, adoptée en décembre 2008 dans des conditions toujours sujettes à polémique. Le malheureux avait par la suite pu décrocher une embauche à Albalad, un quotidien indépendant, mais il s'est de nouveau vu remercier quelques jours après. Il s'est révélé par la suite que les pressions malveillantes de Djaanfar Ahmed Mansoib, le patron de l'ORTC de l'époque, exercées sur la rédaction du journal, avaient concouru à son licenciement.
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#Posté le jeudi 08 avril 2010 18:46

Animé par le désir de changer les mentalités : Hass Mosa met son talent au service de son engagement

On le surnomme le “phénomène reggae des Comores”. Hass Mosa a choisi Nantes comme ville d'adoption. Fondateur du groupe Djama en 1993, ce franco-comorien poursuit désormais sa carrière en solo. L'auteur compositeur interprète vient d'ailleurs de sortir un nouvel album “Changer”. L'occasion de présenter un artiste authentique, un messager de la paix. L'occasion aussi pour cet homme doté d'une grande spiritualité de témoigner sans langue de bois.
Publié le 7 avril 2010
Florence Falvy

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Figure engagée ? chanteur militant ? Hass Mosa est tout simplement un artiste investit d'une mission : enseigner en musique l'histoire de son pays. Pour éveiller les esprits, il prône la philosophie du reggae et communique des valeurs morales, comme le respect et la tolérance. CHANGER. Sept lettres apposées sur son nouvel album. Quatorze titres qui puisent leur inspiration dans l'histoire des Comores et de son île d'Anjouan. Un récit marqué par la mainmise coloniale, le pouvoir métropolitain et les crises politiques. Une adolescence rythmée par l'indépendance, les coups d'état, la dictature, la quête de liberté. Les souvenirs d'un gamin de 15 ans à jamais gravés dans la mémoire. « De ma fenêtre, j'ai assisté à l'arrivée des militaires, apeuré par le vrombissement des hélicoptères et le bruit des explosions. On aurait dit un “remake” du film Les Sept Mercenaires. À cette époque, j'étais conscient de la guerre mais pas de l'histoire qui se tramait devant mes yeux. La colonisation a mis le pays dans le chaos, a entraîné la perte de notre identité, la disparition de nos richesses. » Sans haine, ni révolte, l'enfant du pays se remémore ces moments qui l'ont conduit à fuir, à quitter ses racines laissant amis et famille derrière lui.

Je n'ai pas encore compris comment la musique a guidé mon chemin. De plus en plus, elle me permet d'exister, de trouver mon équilibre.

Hass Mosa n'a que 19 ans lorsqu'il arrive en France. « J'étais parachuté, dit-il, sans argent, sans reperds. » C'est en puisant sa force dans le reggae qu'il a entamé une reconstruction personnelle, son deuxième combat. Dès lors, la musique va accompagner son quotidien et devenir son terrain d'expression. « Je n'ai pas encore compris comment la musique a guidé mon chemin. De plus en plus, elle me permet d'exister, de trouver mon équilibre. Elle vibre en moi. » Très tôt déjà, il prend conscience que sa destinée se poursuivrait sur scène. La consécration a lieu en 1986 avec la sortie de son premier vinyle avant de fonder, six ans plus tard, le groupe Djama. S'ensuivent quatre albums, de nombreuses compilations et plus de 600 concerts. Puis, vient le temps de la réflexion, du besoin d'expression. Hass Mosa décide de continuer en solo. Nous sommes en 2006.

Aujourd'hui, l'artiste poursuit son combat pour l'égalité des hommes. Ses sources d'inspiration ? Martin Luther King, Nelson Mandela, Bob Marley, Mahatma Gandhi... Autant de noms qui résonnent dans ses chansons Bam Bam Remix et Célébration, tel un hommage à ceux qui ont milité pour la paix et la liberté. Il prend à bras le corps leurs paroles et met, à son tour, sa pierre à l'édifice afin d'apporter sa contribution. Chacun de ses mots pénètre l'âme. Et pour cause. Six années de réflexion, de méditation, de pensée ont été nécessaires à la préparation de ce nouvel album. Période durant laquelle Hass Mosa a pris un soin tout particulier à écrire son histoire et transmettre ses émotions. Tout simplement partager la sensibilité qui est sienne. Il marie subtilement la langue de sa terre d'accueil et de son île natale, le swahili. Le tout est nourri de sonorités reggae, parfois arabisantes. Un métissage culturel et une pluralité d'influences que Hass Mosa dénomme ainsi : Reggae tribal made in Comores.

Je dois parler

À chacune de ses prestations, l'artiste sème son message. Mesure-t-il la portée de ses textes ? « Incontestablement », répond-il. « Lorsque je regarde le public, je sais qu'il ressent mes paroles. Alors, la magie s'opère. » Sur scène, l'homme devient autre. « Un sentiment très étrange et profond à la fois », décrit-il. « Je suis comme happer par une force spirituelle. » Un bâton à la main, il délivre son message d'unité. Chaque concert prend des allures mystiques, sorte de prière collective.

Désormais, Hass Mosa ne pèse plus ses mots. « Je dois parler », lance-t-il. Un brin révolutionnaire, l'artiste pointe du doigt un système répressif. « Aujourd'hui encore, je suis considéré comme un inconnu. La discrimination fait partie de mon histoire. Des portes restent fermées. » Non sans persévérance, il poursuit sa route. Il se produira le 24 avril à Saint-Aignan-de-Grand-Lieu (44) lors du festival “Parfum Caraïbes”, le 8 mai à Trélazé (49) pour un concert reggae, le 5 juin à l'occasion du festival Les Arts O'Zeurs d'Eté à Nozay (44). Sans oublier le 28 août pour le concert Roots Land dans l'Aquitaine (33) et le 11 septembre pour le festival “Viens chercher bonheur” à Meigné-le-Vicomte (49).

Et, en toute confidence, Hass Mosa avoue qu'un autre album est d'ores et déjà en réflexion, dédié cette fois-ci à celles qu'il nomme « les grandes dames de sa vie ». Ces femmes qui, au même titre que la musique, ont fait de lui l'artiste et l'homme qu'il est aujourd'hui. En somme, un album qui promet d'être, certes, plus sentimental mais toujours aussi personnel.

www.hassmosa.com

Texte et photo d'ouverture : Florence FALVY
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#Posté le jeudi 08 avril 2010 18:38

Modifié le vendredi 09 avril 2010 22:27

JOYEUX ANNIVERSAIRE...La Télévision nationale des Comores veut se faire voir à l'étranger!

Alors que le service public de la télévision souffle sa quatrième bougie, son nouveau patron, Soilihi Mohamed Soilihi, planche sur son projet phare de rendre accessibles ses programmes aux Comoriens de la diaspora dès octobre prochain.
Trois sociétés seraient prêtes à investir sur le plan technologique. Il s'agit de Sfr, Word connexion (une société franco-comorienne basée à Paris) et Thema qui propose des bouquets de stations des pays de l'Océan indien et dont le président était venu à Moroni la semaine dernière pour soumettre son projet. “La singularité de l'offre de ces sociétés est que ni l'Ortc ni le gouvernement n'a pas à investir au départ. En ce qui nous concerne, nous pencherons pour la société la plus rentable pour nous tout en nous rassurant qu'elle est également la plus solide”, explique le directeur. En ce qui concerne le choix, il a déploré le manque d'un conseil d'administration à la télévision nationale “qui aurait pu trancher sur cette question”.
Il s'agira d'une chaine payante. “Cela va rapporter aussi bien pour les opérateurs en France que pour la Tnc, tout en répondant à un réel besoin de la diaspora”.
Le plus gros problème, selon Soilihi est d'investir dans les outils de travail et le personnel, une diffusion à l'extérieure supposant une qualité professionnelle des résultats. Dans cette optique “la Tnc mène une étude avec la coopération chinoise pour la redisposition des équipements, notamment des émetteurs afin d'améliorer nos performances”.
L'autre préoccupation du directeur c'est le retour de la radio nationale sur les ondes moyennes qui permettaient aux programmes d'être accessibles en Afrique de l'Est et à Madagascar.
Dans un tout autre sujet, Soilih M. Soilih estime que l'Ortc doit avoir un caractère commercial. Il envisage, donc, de revoir le mode d'organisation et de fonctionnement administratif de la maison. Il va falloir, notamment, “étudier un statut du personnel car la loi qui a créé l'Ortc en 1994 n'est pas totalement appliquée, et il n'y a ni conseil d'administration ni conseil de discipline”.

Abouhariat Saïd Abdallah
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#Posté le jeudi 08 avril 2010 18:30

UN HITMA A LA MEMOIRE DES DISPARUS AU LARGE DE MAYOTTE

Plus d'une centaine de personnes avaient pris part hier, à la grande mosquée de Moroni, à un Hitma, organisé à l'initiative du Comité Maoré en mémoire des victimes disparus au large de Mayotte, en voulant se rendre dans l'ile comorienne sous administration française.
Cette cérémonie religieuse a vu la participation de plusieurs hauts responsables du pays et a été une occasion pour les participants de dénoncer de nouveau le visa Balladur, instauré en 1995, à l'origine des drames humains à répétition sur le bras de mer séparant Mayotte et ses îles s½urs. « Plus de 7000 personnes ont péris, les citoyens doivent prendre conscience de l'envergure de ce massacre silencieux, on ne doit pas rester des spectateurs, il faut qu'on agisse vite face à cette tragédie humaine », a dit maître Abdou Ah Elaniou.
« Notre religion est bafouée à Mayotte, il n'y aura pas de cadis dans l'île, la France continue lentement à occidentaliser l'île, c'est inacceptable, c'est inacceptable », a encore dit le doyen des avocats comoriens qui plaide pour l'organisation d'événements similaires dans le pays pour conscientiser la population sur cette question qui met en jeu l'avenir de l'archipel. Cette cérémonie religieuse coïncide avec le premier anniversaire du référendum sur la départementalisation de l'île comorienne organisé le 29 mars 2009 et qui a été vivement condamné par la communauté internationale,
A.S.KEMBA

Source : Albalad N° 229 du O8-O4-1O
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#Posté le jeudi 08 avril 2010 18:24

COMORES: LE MINISTRE DE L'INTERIEUR MET EN GARDE L'OPPOSITION

MORONI - Le ministre comorien de l'Intérieur a mis en garde jeudi les membres de l'opposition qui selon lui "incitent" à la violence et tentent de semer "l'anarchie" dans l'archipel des Comores, où la prolongation du mandat présidentiel suscite des tensions politiques.
"Nous devons rester sereins, nous sommes dans un pays démocratique et chacun doit garder son calme. Mais il n'est pas question d'aller à l'anarchie", a déclaré à l'AFP le ministre Hassane Ahmed el Barwane.
"Des propos tenus par des responsables de l'opposition visent à inciter certains membres de la population à l'usage de la force", a-t-il accusé.
"Ces intentions ne sont pas de nature à apaiser la situation et, au contraire, mettent de l'huile sur le feu", a estimé le ministre.
La situation politique est tendue actuellement aux Comores, et plus particulièrement sur l'île de Mohéli, l'opposition contestant vivement la prolongation du mandat du président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi jusqu'à fin 2011 et réclamant le respect de la présidence tournante de l'archipel.
Selon ce principe, inscrit dans la Constitution depuis 2001, la prochaine présidence revient à Mohéli. M. Sambi, ressortissant de l'île d'Anjouan, avait lui-même succédé à Azali Assoumani, de la Grande Comore, en mai 2006.
Début mars, un congrès parlementaire, boycotté par l'opposition, a décidé de fixer les élections du président de l'Union et des gouverneurs au 27 novembre 2011, prolongeant ainsi de facto le mandat du chef de l'Etat de dix-huit mois.
"Nous assumerons nos responsabilités et mènerons la réforme constitutionnelle jusqu'au bout, nous ne reculerons pas devant les tentatives de déstabilisation et de semer la confusion", a martelé le ministre de l'Intérieur, assurant que Mohéli aurait la présidence "tournante en 2011".
"Malgré son échec (aux élections législatives de décembre 2009), l'opposition veut faire entendre sa voix par tous les moyens. (...) Mais cela ne signifie pas que le pays conteste cette réforme", a estimé M. el Barwane, pour qui cette opposition "ne représente plus grand chose".
"Nous ne voulons pas attiser le feu, nous n'utiliserons pas la force, mais la loi, et toute la loi", a-t-il affirmé.
Interrogé sur les accusations faisant état de la mise en place par le gouvernement de milices pro-régime, à Moroni notamment avec des jeunes des quartiers déshérités, le ministre de l'Intérieur a affirmé que "ces groupes ne sont pas des milices".
"Ils ne sont pas armés, ne sont pas structurés, ce sont de simples citoyens qui observent et nous renseignent, des gens qui travaillent et n'apprécient pas forcément les agissements de certains", a-t-il expliqué.
"Le gouvernement n'a donné aucune arme à qui que ce soit", a ajouté M. el Barwane
Source :
http://www.romandie.com/
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#Posté le jeudi 08 avril 2010 18:19

MAYOTTE : Les cadis entendent organiser la contestation.

Vendredi dans certaines mosquées, certains prêcheurs ont parlé d'Islam en danger” avec la suppression des cadis.

Une ordonnance devrait bientôt annoncer la suppression de la juridiction des cadis à Mayotte, et faire d'eux des auxiliaires de la justice française. Les cadis s'y attendaient puisque depuis plusieurs semaines, ils vont de conciliabules en conciliabules. La réunion qu'ils ont faite mardi 23 mars à Mtsapere a été particulièrement animée. “Ils estiment que la suppression de leur juridiction est une atteinte à leur autorité”, explique Kamal Saïd, doctorant en droit qui a écouté les doléances de plusieurs cadis.
C'est peut-être le premier couac sur le chemin de la départementalisation. Après la réunion du 23 mars, les cadis de Mayotte expriment à présent leur opposition à la disparition pure et simple de leurs fonctions, sacrifiées à l'autel de l'assimilation. Ils entendent organiser la contestation, et ils ont commencé le vendredi dernier dans certaines mosquées, puisque certains prêcheurs ont parlé de “l'Islam en danger” avec la suppression des cadis.
Pourtant, dans ce domaine tout semblait clair. En même temps, que se faisait la marche vers la départementalisation, le législateur français n'a cessé de répéter que les Maorais avançaient vers l'uniformité des lois avec la France. Dès la fin des années 1990, il était clair que la juridiction des cadis allait être supprimée. Les principaux concernés avaient exprimé leur opposition en 1999, et depuis ils étaient entrés dans les rangs à l'image du Grand-cadi.
Tourner le dos Pourtant, l'accord du 27 juillet 2000 et la loi du 11 juillet 2001, confirmaient la relégation des cadis à des fonctions de médiation ou de conciliation. Les autorités françaises avaient également précisé qu'après la retraite du Grand-cadi, aucun autre ne serait nommé à sa place. C'est ce qui s'est passé, et les cadis dans leur ensemble, et particulièrement l'ancien Grand-cadi sont restés silencieux sur l'ensemble de ces décisions, comme pendant la campagne sur la départementalisation.
Alors pourquoi ce réveil soudain, au nom de l'Islam?
L'ordonnance prévue devrait préciser que les cadis ne sont plus que de simples auxiliaires de la justice française. Déjà, il ne leur reste pas grand-chose de leurs fonctions d'avant puisque les Maorais, de plus en plus nombreux, présentent directement leurs doléances à la justice civile. De plus, la loi établit depuis quelques années que tout mariage qui n'est pas célébré devant un officier d'état civil, en mairie, n'a pas de valeur auprès de l'Etat français. C'est donc à la fin d'un processus qui a duré près de dix ans, soutenu par les deux derniers députés qui exigent l'uniformité des lois avec la France, que les cadis demandent son arrêt. Certes, le combat des cadis de Mayotte pourra s'appuyer sur le thème de “l'islam en danger” et ainsi rallier un certain nombre de pratiquants.
Mais, il semble que la jeunesse maoraise et les femmes leur aient tourné le dos.
Mahmoud Ibrahime

Source : Al-watwan N° 1534 du 7 avril 2010

Nous constatons que les autorités françaises et les certains élus locaux encouragent à Mayotte la population à changer de religion (de l'islam au christianisme). Le président Sarkozy revendique reclame la tradition judéo-chrétienne au sein de la France.
Dans ce territoire occupée par la France, plusieurs lois restreignent l'application de l'islam. Le pouvoir des cadis était une concession entre la tradition musulmane et la justice afin de règler des aspects secondaires de la société. Nous dénoçons ceertaines atteintes de la liberté de religion et l'encouragement à l'alcoolisme et à la debauche à Mayotte.
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#Posté le jeudi 08 avril 2010 08:55

Comores: "pas de gouvernement de transition" après le 26 mai

MORONI - Le gouvernement de l'Union des Comores a rejeté l'idée d'un gouvernement de transition ou d'union nationale à l'issue du quinquennat du président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, fin mai, a-t-on appris mercredi de source officielle.

"Il n'y a pas lieu d'établir un gouvernement de transition, ni d'union nationale" après le 26 mai, a déclaré le ministre des Relations extérieures et de la Coopération, Ahmed Ben Saïd Jaffar, dont les propos ont été rapportés mercredi à l'AFP par un de ses proches collaborateurs.

M. Jaffar s'exprimait mardi à l'issue d'une rencontre avec les représentants de la communauté internationale à Moroni, consacrée "au processus électoral".

Le président Sambi avait été élu en mai 2006 à la tête de l'Union des Comores, pour un mandat de cinq ans censé prendre fin le 26 mai prochain.

Début mars, un congrès parlementaire, boycotté par l'opposition, a décidé de fixer les prochaines élections du président de l'Union et des gouverneurs au 27 novembre 2011, prolongeant ainsi de facto le mandat du chef de l'Etat de 16 mois.

L'opposition conteste cette décision, qui suscite de vives tensions politiques, en particulier sur l'île de Mohéli, et réclame le respect de la présidence tournante de l'archipel.

Selon ce principe, adopté dans la Constitution en 2002, la prochaine présidence revient à Mohéli, après que M. Sambi, ressortissant de l'île d'Anjouan, ait succédé à Azali Assoumani, de la Grande Comore, en mai 2006.

"Nous ne sommes pas en situation de crise politique", a estimé M. Jaffar, dont les propos ont été rapportés à l'AFP par son directeur de cabinet, Farid Aboubacar.

Le camp présidentiel justifie la prolongation du mandat de M. Sambi par "l'harmonisation" nécessaire --à des fins d'économies-- entre le scrutin présidentiel et l'élection des chefs des éxécutifs des trois îles de l'archipel.

Regroupés au sein d'une large coalition, la Convergence nationale pour mai 2010 (CNPM 2010), les principaux partis d'opposition estiment qu'il s'agit d'un "prétexte" du chef de l'Etat sortant "pour se maintenir au pouvoir" et dénoncent "une dérive dictatoriale du pouvoir".

"Le 26 mai au soir, nous ne reconnaitrons plus aucune légitimité au président Sambi", a déclaré à l'AFP l'un des porte-paroles de la CNPM 2010, Houmed Msaïdi, inquiet de cette "situation de crise dans le pays" et d'un "climat politique délétère".

L'opposition souhaite "trouver un consensus avec tous les acteurs (...) et exige la mise en place au plus vite d'un calendrier électoral, sous supervision de la communauté internationale", a précisé le vice-président de la CNPM 2010, Mtara Maecha.

La coalition d'opposition demande en particulier "l'implication urgente" de l'Union africaine (UA), dont le Commissaire à la paix et la sécurité, Ramtane Lamamra, est attendu jeudi aux Comores.

(©AFP / 07 avril 2010 18h05)


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#Posté le jeudi 08 avril 2010 08:42

Une action de déstabilisation des "reseaux françafricains" se préparerait !

D'après des témoignages à prendre avec reserve une action de destabilisation se préparerait à partir de la France par le reseau Bob Denard. il y aurait des opposants comoriens (y compris de l'île de Mohéli) qui auraient pris contact avec les mercenaires du triste fameux Bob Denard et des reseaux françafricains. Les presumés assasins du président Ahmed Abdallah Jean-Pierre et Malacrino ("Marques") auraient quitté déjà la France afin de préparer la logistique (bateau, armes, etc.). Certains mercenaires se trouveraient à la Réunion dont des anciens "serbes". A Mayotte, comme ça été dit auparavant, plusieurs observateurs constatent qu'il y a plusieurs legionaires "noires" qui arrivent et qui pourraient être confondus avec des soldats "africains".
Nous dénonçons une fois de plus ce nième coup d'état préparé par les reseaux français. Si une telle action criminelle se réaliserait, nous nous préparons à deposer plainte contre les autorités françaises pour préparation d'actes de destabilisation à l'égard d'un pays tiers et pour crimes contre l'humanité si celà occasionne plusieurs victimes. Mobilisons-nous contre les reseaux françafricains et leurs complices aux Comores.

Nous publions également un article du blog Wongo:

Comores: la guerre des mercenaires aura-t-elle lieu ?

Depuis l'indépendance inachevée des Comores le 6 juillet 1975 et l'annexion illégale d'une partie de son territoire par la France, les Comores ont essuyé plusieurs coups d'Etat, la plupart en « provenance » de l'île comorienne de Mayotte occupée par la France et qui sert de base arrière à des mercenaires français qui organisent fréquemment des coups d'états aux Comores libres avec l'appui indéfectible des larbins comoriens (25 coups d'état ou tentatives de coups d'état, des assassinats de 4 présidents comoriens et l'exil forcé d'un chef d'état en exercice).
Le seul moyen pour la France de rester illégalement à Mayotte, c'est de donner une image chaotique des Comores libres, et tous les moyens sont bons pour y arriver : « La preuve vient d'être faite, une fois de plus, que nos malheurs transitent le plus souvent par Mayotte » avait déclaré le président comorien Ahmed Abdallah Mohamed Sambi le 5 avril 2008 à Mutsamudu lors de la célébration de la libération d'Anjouan ,(on fête aujourd'hui le deuxième anniversaire) parlant de l'exfiltration de l'ancien dictateur Bacar. Au cours de son discours le président Sambi avait également déclaré que la France est «seulement une amie, non une s½ur» faisant allusion aux relations ambigües entre la France et les Comores.
Vu la déclaration du quai d'Orsay condamnant la décision du congrès national et l'agitation inhabituelle des militaires français à Mayotte, le président comorien était obligé de faire appel à des pays amis (des vrais) pour sa protection rapprochée. D'autres militaires en provenance d'Iran seraient attendus incessamment à Moroni.
A un proche qui s'inquiétait auprès de lui des mouvements des navires de guerre à Mayotte, le chef de l'état a répondu : « Qu'ils viennent alors ».

Wongo (Moroni Gde-Comore)

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#Posté le mercredi 07 avril 2010 06:31

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