
Il y a de ça un an, presque jour pour jour, une partie de la population comorienne a franchi une ligne rouge abominable sans qu'aucune autorité compétente ne se saisisse de l'affaire afin qu'une telle ignominie ne se reproduise pas dans notre pays.
Mes chers enfants, il y a de ça 6 mois à peine, une jeune femme d'à peine mon âge, une jeune femme qui aurait pu être votre soeur, votre mère, votre femme ou votre ami.
Mes chers enfants, que restera-t-il ?
Cette fois c'est trop et l'état doit prendre ses responsabilités.
Et je vous accuse de lâcheté si vous baissez les yeux.
Mes chers enfants, les comoriens on montré en mai dernier qu'ils sont capables de prendre leur destin en main.
Mes chers enfants, les autorités comoriennes sont contre vous.

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